Sommaire du journal N°19 - Avril/Mai 2000
Chers lecteurs,
Les "grands travaux" bornandins démarrent : la salle polyvalente et l'aménagement de l'entrée du village. Cela ne va pas aller sans quelques tracas, sur le plan de la circulation notamment, et la physionomie du Grand-Bornand va changer. D'autant plus que de nouvelles pistes vont être créées et que des projets de construction de résidences sont dans l'air. Ce qui suscite l'inquiétude de certains de nos lecteurs. Mais le maire assure qu'il est vigilant et qu'il ne veut pas dénaturer le charme de son village.
A La Clusaz, aussi, on va refaire l'entrée de la station. On a renoncé à un projet très ambitieux, et très coûteux, qui risquait, en outre, de nuire à l'environnement, pour un aménagement plus modeste. On retombe ainsi toujours sur l'éternel problème : comment concilier des aménagements nécessaires dus à l'augmentation de la fréquentation touristique et conserver le caractère traditionnel des villages de moyenne montagne. La réponse n'est certes pas évidente mais on peut se poser quelques questions quand le seul tavaillonneur traditionnel, en bois fendu, de Haute-Savoie, François Ferry, installé Manigod, nous dit que si les collectivités «subventionnent les particuliers qui font faire leur toit en tavaillons, elles ne font rien pour encourager son activité». Ce faible intérêt semble confirmé par le fait que le jeune chef d'entreprise réalise 80% de son chiffre d'affaires en dehors de la Haute-Savoie.
Les "grands travaux" bornandins démarrent : la salle polyvalente et l'aménagement de l'entrée du village. Cela ne va pas aller sans quelques tracas, sur le plan de la circulation notamment, et la physionomie du Grand-Bornand va changer. D'autant plus que de nouvelles pistes vont être créées et que des projets de construction de résidences sont dans l'air. Ce qui suscite l'inquiétude de certains de nos lecteurs. Mais le maire assure qu'il est vigilant et qu'il ne veut pas dénaturer le charme de son village.
A La Clusaz, aussi, on va refaire l'entrée de la station. On a renoncé à un projet très ambitieux, et très coûteux, qui risquait, en outre, de nuire à l'environnement, pour un aménagement plus modeste. On retombe ainsi toujours sur l'éternel problème : comment concilier des aménagements nécessaires dus à l'augmentation de la fréquentation touristique et conserver le caractère traditionnel des villages de moyenne montagne. La réponse n'est certes pas évidente mais on peut se poser quelques questions quand le seul tavaillonneur traditionnel, en bois fendu, de Haute-Savoie, François Ferry, installé Manigod, nous dit que si les collectivités «subventionnent les particuliers qui font faire leur toit en tavaillons, elles ne font rien pour encourager son activité». Ce faible intérêt semble confirmé par le fait que le jeune chef d'entreprise réalise 80% de son chiffre d'affaires en dehors de la Haute-Savoie.
Aravis
- TSL, start-up avant l'heure
- Détournement de fonds à la FFS
- Moniteurs et guides en colère
- Les stations d'épuration seront prêtes pour l'été
- Brèves
La Clusaz
Le Grand-Bornand
Manigod
Portrait
Histoire
Chronique juridique
Randonnée
Livres
Accédez aux autres sommaires
Dernière minute
N°132 - Février/Mars 2019
Commentaires
Courrier des lecteurs
Pierre Baugey, habitant du Grand-Bornand, moniteur de ski, ancien conseiller technique et sportif de la Jeunesse et des Sports, ancien conseiller municipal.