Sommaire du journal N°34 - Octobre/Novembre 2002
Chers lecteurs,
Malgré une belle arrière-saison, le mauvais temps de l'été n'a fait qu'accentuer une baisse significative de la fréquentation touristique estivale dans les Aravis et dans toute la Haute-Savoie. Au point que les élus et les professionnels du tourisme commencent à s'inquiéter sérieusement : on a perdu, en cinq ans, 20 à 25% de la clientèle. Le comité régional du tourisme avance plusieurs explications. La première, et qui touche toutes les stations de mer ou de montagne, est que les séjours ont considérablement raccourci – sept jours et demi en moyenne aujourd'hui – et sont de plus en plus tardifs, à partir maintenant du 20 juillet. Quand on sait que, en dehors de la clientèle régionale, ce sont les Parisiens – ou plus globalement les Franciliens – et les Nordistes qui fréquentent le plus les Alpes, la tendance au séjour court les détourne de leur destination favorite : trop loin et trop cher... Une autre explication, et là il faut que les professionnels du tourisme balaient devant leur porte, les prix l'été sont pratiquement les mêmes que l'hiver. Les différences ne sont pas, en tout cas, assez sensibles. Troisième point – mais il y en a d'autres –, la communication sur les loisirs de l'été a trop souvent porté sur les séjours sportifs. Or, 65% des vacanciers placent la promenade en tête de leur loisir favori et 6% seulement le sport ! Il y a là une erreur de ciblage qu'il importe de rectifier au plus vite, surtout en moyenne montagne. On vient plus, l'été, pour s'y balader que pour pratiquer un sport extrême.
Malgré une belle arrière-saison, le mauvais temps de l'été n'a fait qu'accentuer une baisse significative de la fréquentation touristique estivale dans les Aravis et dans toute la Haute-Savoie. Au point que les élus et les professionnels du tourisme commencent à s'inquiéter sérieusement : on a perdu, en cinq ans, 20 à 25% de la clientèle. Le comité régional du tourisme avance plusieurs explications. La première, et qui touche toutes les stations de mer ou de montagne, est que les séjours ont considérablement raccourci – sept jours et demi en moyenne aujourd'hui – et sont de plus en plus tardifs, à partir maintenant du 20 juillet. Quand on sait que, en dehors de la clientèle régionale, ce sont les Parisiens – ou plus globalement les Franciliens – et les Nordistes qui fréquentent le plus les Alpes, la tendance au séjour court les détourne de leur destination favorite : trop loin et trop cher... Une autre explication, et là il faut que les professionnels du tourisme balaient devant leur porte, les prix l'été sont pratiquement les mêmes que l'hiver. Les différences ne sont pas, en tout cas, assez sensibles. Troisième point – mais il y en a d'autres –, la communication sur les loisirs de l'été a trop souvent porté sur les séjours sportifs. Or, 65% des vacanciers placent la promenade en tête de leur loisir favori et 6% seulement le sport ! Il y a là une erreur de ciblage qu'il importe de rectifier au plus vite, surtout en moyenne montagne. On vient plus, l'été, pour s'y balader que pour pratiquer un sport extrême.
Aravis
Haute-Savoie
- La loi montagne pourrait être modifiée
- Des canons coûteux et gourmands en eau
- La montagne n'a plus la cote en été
- Palais de justice d'Annecy : Une facture de 8 millions d'euros
- Mont-Blanc–Fréjus : le trafic des poids lourds reste mal réparti
- Brèves
- Moins d'accidents de randonnée cet été
- Hausse des impôts locaux : la pilule est amère
- Feu vert pour le nouvel hôpital de région annécienne
La Clusaz
Le Grand-Bornand
Manigod
Livres
Accédez aux autres sommaires
Dernière minute
N°134 - Juin/Juillet 2019
Commentaires
Courrier des lecteurs
M. Jacques-André Nawratil a laissé un message sur notre site internet www.jdparavis.info
Dernier numéro
Boutique
7.90 €
L'île d'Aix vue d'en haut
Commander
16.15 €
Les Aravis vus d'en haut
Commander
Le produit a été ajouté au panier