Sommaire du journal N°51 - Août/Septembre 2005
Chers lecteurs,
La polémique autour de la carrière des Mésers semble s'éteindre. Le commissaire enquêteur a rendu un avis favorable, à la satisfaction des élus et des acteurs économiques, mais l'a assorti de nombreuses conditions environnementales qui ont rassuré les associations de défense de la nature. On serait tenté de dire : «Tout est bien qui finit bien !» On verra à l'usage. Les prix de l'immobilier, dans les Aravis, comme ailleurs, ont connu une hausse vertigineuse ces cinq dernières années au point que les agents immobiliers estiment qu'on a atteint la limite haute, du moins en ce qui concerne les chalets. Curieusement, à part les voisins suisses, la clientèle étrangère – contrairement à beaucoup d'endroits, en France, en montagne, sur le littoral ou dans la campagne – est peu présente dans le massif. Il est vrai que, comme l'avoue un agent immobilier, «ici, on ne court pas après les étrangers...» Une exception : Manigod où les Britanniques ont investi la commune, en raison sans doute de la force de conviction d'un citoyen anglais qui travaille dans l'immobilier. C'est peut-être d'ailleurs un Anglais –qui sait ? – qui prendra la suite du tabac-presse que la gérante veut céder après vingt ans de présence. La supérette qui vient de fermer, le tabac-presse qui veut céder, les Manigodins sont inquiets de voir le coeur du village déserté. On attend la relève.
La polémique autour de la carrière des Mésers semble s'éteindre. Le commissaire enquêteur a rendu un avis favorable, à la satisfaction des élus et des acteurs économiques, mais l'a assorti de nombreuses conditions environnementales qui ont rassuré les associations de défense de la nature. On serait tenté de dire : «Tout est bien qui finit bien !» On verra à l'usage. Les prix de l'immobilier, dans les Aravis, comme ailleurs, ont connu une hausse vertigineuse ces cinq dernières années au point que les agents immobiliers estiment qu'on a atteint la limite haute, du moins en ce qui concerne les chalets. Curieusement, à part les voisins suisses, la clientèle étrangère – contrairement à beaucoup d'endroits, en France, en montagne, sur le littoral ou dans la campagne – est peu présente dans le massif. Il est vrai que, comme l'avoue un agent immobilier, «ici, on ne court pas après les étrangers...» Une exception : Manigod où les Britanniques ont investi la commune, en raison sans doute de la force de conviction d'un citoyen anglais qui travaille dans l'immobilier. C'est peut-être d'ailleurs un Anglais –qui sait ? – qui prendra la suite du tabac-presse que la gérante veut céder après vingt ans de présence. La supérette qui vient de fermer, le tabac-presse qui veut céder, les Manigodins sont inquiets de voir le coeur du village déserté. On attend la relève.
Aravis
- Des prix multipliés par deux en cinq ans
- Mésers : une exploitation sous réserves
- Un ticket pour le transport collectif
- Fréquentation touristique : les hivers sont rudes
Le Grand-Bornand
- Une bibliothèque pour tous, ouverte à tous
- Des sculptures sur le sentier de la forêt/Brèves
- Préserver le Chinaillon
- Les remontées mécaniques certifiées ISO 9001
- «Village de Lessy» : Le calendrier légèrement décalé
Manigod
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N°119 - Décembre/Janvier 2016
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Courrier des lecteurs
Faisant suite à l’ouverture de l’enquête publique concernant la révision partielle du schéma de cohérence territoriale (SCoT) sous l’égide de la Communauté de communes des vallées de Thônes, qui s’est déroulée du 7 décembre au 8 janvier, nous avons reçu un courrier de Madame Catherine Garrigue de Jouars-Pontchartrain (78) et résidente au Grand-Bornand. Il s’agit d’une lettre envoyée à la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne.
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