Sommaire du journal N°52 - Octobre/Novembre 2005
Chers lecteurs,
La Fédération française des résidents de stations de montagne prend forme. Elle réunit d'ores et déjà sept associations savoyardes. C'est Mireille Sertout, présidente de l'Association des résidents de La Clusaz – qui a initié ce regroupement avec Pierre-Emmanuel Taittinger, président de l'association des résidents secondaires de Chamonix – qui en a été élue présidente. Ce regroupement d'associations, où les résidents secondaires sont le plus souvent largement majoritaires, est d'actualité. Sur le littoral atlantique, cinq associations de Saint-Georges-de-Didonne, près de Royan, ont décidé de s'unir pour constituer une force de proposition pour l'élaboration du plan local d'urbanisme. Sur la côte sud des Landes, quatre puissantes associations de propriétaires se sont unies pour que la communauté de communes revoie son calcul de la taxe d'ordures ménagères. Ainsi les communes et les communautés de communes sont-elles les endroits où s'exerce le mieux la démocratie. Hors de toute politique politicienne qui plombe trop souvent l'action des élus nationaux, régionaux, départementaux, que les médias ont la lourde responsabilité d'entretenir en ne s'intéressant, à droite comme à gauche, qu'aux querelles des chefs et à leurs manœuvres intestines. Il faut dire que la sanction est directe pour les élus municipaux. Et surtout dans les stations touristiques où les associations détiennent l'arme fatale – épée de Damoclès au-dessus de la tête des élus –, celle de faire voter en masse localement leurs adhérents, propriétaires de résidences secondaires.
La Fédération française des résidents de stations de montagne prend forme. Elle réunit d'ores et déjà sept associations savoyardes. C'est Mireille Sertout, présidente de l'Association des résidents de La Clusaz – qui a initié ce regroupement avec Pierre-Emmanuel Taittinger, président de l'association des résidents secondaires de Chamonix – qui en a été élue présidente. Ce regroupement d'associations, où les résidents secondaires sont le plus souvent largement majoritaires, est d'actualité. Sur le littoral atlantique, cinq associations de Saint-Georges-de-Didonne, près de Royan, ont décidé de s'unir pour constituer une force de proposition pour l'élaboration du plan local d'urbanisme. Sur la côte sud des Landes, quatre puissantes associations de propriétaires se sont unies pour que la communauté de communes revoie son calcul de la taxe d'ordures ménagères. Ainsi les communes et les communautés de communes sont-elles les endroits où s'exerce le mieux la démocratie. Hors de toute politique politicienne qui plombe trop souvent l'action des élus nationaux, régionaux, départementaux, que les médias ont la lourde responsabilité d'entretenir en ne s'intéressant, à droite comme à gauche, qu'aux querelles des chefs et à leurs manœuvres intestines. Il faut dire que la sanction est directe pour les élus municipaux. Et surtout dans les stations touristiques où les associations détiennent l'arme fatale – épée de Damoclès au-dessus de la tête des élus –, celle de faire voter en masse localement leurs adhérents, propriétaires de résidences secondaires.
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Courrier des lecteurs
Faisant suite à l’ouverture de l’enquête publique concernant la révision partielle du schéma de cohérence territoriale (SCoT) sous l’égide de la Communauté de communes des vallées de Thônes, qui s’est déroulée du 7 décembre au 8 janvier, nous avons reçu un courrier de Madame Catherine Garrigue de Jouars-Pontchartrain (78) et résidente au Grand-Bornand. Il s’agit d’une lettre envoyée à la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne.
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