Sommaire du journal N°10 - Octobre/Novembre 1998
Chers lecteurs,
L'image de La Clusaz a pris un mauvais coup, cet été. Des odeurs pestilentielles ont découragé bon nombre de touristes. La cause ? Un concours de circonstances, certes, mais la vraie raison est que la station d'épuration est totalement obsolète et que le Nom a servi de trop-plein. Et ce n'est malheureusement pas la première fois que cela arrive. Cela a suscité le ras-le-bol des pêcheurs qui, par l'intermédiaire de leur fédération, se sont résolus à porter plainte. On n'écoute jamais assez les pêcheurs qui sont, généralement, des gens pacifiques et de bonne compagnie. Cela fait des années qu'ils voient la pollution envahir les rivières, entamer les ressources halieutiques et détruire même certaines espèces. On ne les a jamais écoutés. Et l'on s'inquiète seulement aujourd'hui de la qualité des eaux et de leur rareté. Dans cette affaire de La Clusaz, les pêcheurs et les membres de l'association Eaux secours les Aravis sont d'autant plus amers que, l'an dernier, des réunions ont eu lieu, sous l'égide de la préfecture, pour envisager un contrat de rivière. Mais le préfet est parti et tout est tombé à l'eau... On sait bien que la modernisation de la station d'épuration coûtera des sommes énormes. Mais on est bien obligé d'en passer par là. Or elle ne sera prête que dans deux ans, voire trois ou quatre ans. En attendant, il faut prendre des mesures transitoires. Pour cela, il faut que les élus locaux, les représentants des associations, les fonctionnaires de l'État acceptent de s'assoir, tous ensemble, autour d'une table et les solutions seront trouvées. C'est urgent.
L'image de La Clusaz a pris un mauvais coup, cet été. Des odeurs pestilentielles ont découragé bon nombre de touristes. La cause ? Un concours de circonstances, certes, mais la vraie raison est que la station d'épuration est totalement obsolète et que le Nom a servi de trop-plein. Et ce n'est malheureusement pas la première fois que cela arrive. Cela a suscité le ras-le-bol des pêcheurs qui, par l'intermédiaire de leur fédération, se sont résolus à porter plainte. On n'écoute jamais assez les pêcheurs qui sont, généralement, des gens pacifiques et de bonne compagnie. Cela fait des années qu'ils voient la pollution envahir les rivières, entamer les ressources halieutiques et détruire même certaines espèces. On ne les a jamais écoutés. Et l'on s'inquiète seulement aujourd'hui de la qualité des eaux et de leur rareté. Dans cette affaire de La Clusaz, les pêcheurs et les membres de l'association Eaux secours les Aravis sont d'autant plus amers que, l'an dernier, des réunions ont eu lieu, sous l'égide de la préfecture, pour envisager un contrat de rivière. Mais le préfet est parti et tout est tombé à l'eau... On sait bien que la modernisation de la station d'épuration coûtera des sommes énormes. Mais on est bien obligé d'en passer par là. Or elle ne sera prête que dans deux ans, voire trois ou quatre ans. En attendant, il faut prendre des mesures transitoires. Pour cela, il faut que les élus locaux, les représentants des associations, les fonctionnaires de l'État acceptent de s'assoir, tous ensemble, autour d'une table et les solutions seront trouvées. C'est urgent.
Aravis
La Clusaz
- Ski : quoi de neuf cet hiver ?
- La pollution était-elle prévisible ?
- Gros succès pour la via ferrata
- Brèves
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Courrier des lecteurs
Faisant suite à l’ouverture de l’enquête publique concernant la révision partielle du schéma de cohérence territoriale (SCoT) sous l’égide de la Communauté de communes des vallées de Thônes, qui s’est déroulée du 7 décembre au 8 janvier, nous avons reçu un courrier de Madame Catherine Garrigue de Jouars-Pontchartrain (78) et résidente au Grand-Bornand. Il s’agit d’une lettre envoyée à la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne.
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