Sommaire du journal N°24 - Février/Mars 2001

Chers lecteurs,

«Elle est super-géante», «Cavagnoud, c'est fou» (L'Equipe), «Cavagnoud, reine du blanc» (Le Monde), «Cavagnoud au sommet» (Le Figaro), «Cavagnoud, reine du Super-G» (Le Parisien-Aujourd'hui), «Cavagnoud, son or est venu» (Libération)... C'est une explosion de joie à La Clusaz et de superlatifs dans la presse : le 29 janvier, Régine Cavagnoud est devenue championne du monde de super-G à Sankt Anton en Autriche. Avec le nom de La Clusaz inscrit sur son casque pendant l'épreuve et sur le petit chapeau noir qu'elle arbore une fois la course terminée pour les télés et les photos du monde entier, Régine Cavagnoud fait une formidable publicité pour la station des Aravis. Ajoutez à cela que, comme il faut bien varier les expressions pour la désigner, elle est immanquablement dans le langage des commentateurs «la skieuse de La Clusaz». A une époque où le sport est médiatisé à l'extrême, l'appropriation de l'image d'un sportif connu est l'un des meilleurs vecteurs publicitaires : nos champions du monde de foot sont des hommes-sandwiches et Zidane à lui tout seul a plus fait pour la réhabilitation des quartiers nord de Marseille que tous les plans d'urbanisme. La Clusaz est privilégiée : avant Cavagnoud, elle a eu, entre autres, Périllat, Grospiron ou le surdoué de tous les sports Philippe Monnet. Est-ce le climat, l'altitude ? Quel est le secret des Aravis pour produire autant de champions ?

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