Le Journal des Propriétaires
Sommaire du journal N°39 - Août/Septembre 2003
Chers lecteurs,
C'est une «révolution» : Manigod devrait officiellement intégrer les Aravis en entrant dans le Sima, le Syndicat intercommunal du massif des Aravis, qui regroupe La Clusaz, Le Grand-Bornand et Saint Jean-de-Sixt. Manigod, qui a longtemps illustré le calendrier des Postes, comme symbole du village préservé, isolé dans la montagne, assoupi sous la neige, y perdra sans doute un peu de son âme mais on
comprend les élus qui veulent profiter de la notoriété et du dynamisme que La Clusaz et Le Grand- Bornand ont su insuffler aux Aravis. En retour, ils devront, eux aussi, faire preuve de leur volonté de se hisser, toutes proportions gardées, au niveau de leurs voisins. Et notamment sur le plan de l'animation.
A ce propos, il faut saluer, une fois encore, les organisateurs du festival Au Bonheur des mômes, au Grand-Bornand, qui ont su, en douze ans, faire de leur manifestation un succès international. Regrettons seulement que les Bornandins ne jouent pas tous le jeu. Il y a seulement 15 Bornandins sur les 80 bénévoles qui participent au festival. Or on sait que, sans les bénévoles, il n'y aurait pas de festival, presque nulle part. Au Bonheur des mômes entraîne pourtant des retombées économiques importantes
qui bénéficient au village tout entier. Il relève aussi sa notoriété douloureusement marquée par la dramatique affaire Flactif qui reste encore, à l'heure où nous écrivons ces lignes, un mystère.
C'est une «révolution» : Manigod devrait officiellement intégrer les Aravis en entrant dans le Sima, le Syndicat intercommunal du massif des Aravis, qui regroupe La Clusaz, Le Grand-Bornand et Saint Jean-de-Sixt. Manigod, qui a longtemps illustré le calendrier des Postes, comme symbole du village préservé, isolé dans la montagne, assoupi sous la neige, y perdra sans doute un peu de son âme mais on
comprend les élus qui veulent profiter de la notoriété et du dynamisme que La Clusaz et Le Grand- Bornand ont su insuffler aux Aravis. En retour, ils devront, eux aussi, faire preuve de leur volonté de se hisser, toutes proportions gardées, au niveau de leurs voisins. Et notamment sur le plan de l'animation.
A ce propos, il faut saluer, une fois encore, les organisateurs du festival Au Bonheur des mômes, au Grand-Bornand, qui ont su, en douze ans, faire de leur manifestation un succès international. Regrettons seulement que les Bornandins ne jouent pas tous le jeu. Il y a seulement 15 Bornandins sur les 80 bénévoles qui participent au festival. Or on sait que, sans les bénévoles, il n'y aurait pas de festival, presque nulle part. Au Bonheur des mômes entraîne pourtant des retombées économiques importantes
qui bénéficient au village tout entier. Il relève aussi sa notoriété douloureusement marquée par la dramatique affaire Flactif qui reste encore, à l'heure où nous écrivons ces lignes, un mystère.
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N°135 - Août/Septembre 2019
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Courrier des lecteurs
Faisant suite à l’ouverture de l’enquête publique concernant la révision partielle du schéma de cohérence territoriale (SCoT) sous l’égide de la Communauté de communes des vallées de Thônes, qui s’est déroulée du 7 décembre au 8 janvier, nous avons reçu un courrier de Madame Catherine Garrigue de Jouars-Pontchartrain (78) et résidente au Grand-Bornand. Il s’agit d’une lettre envoyée à la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne.
