Sommaire du journal N°59 - Décembre/Janvier 2006
Chers lecteurs,
On n'arrête pas le dynamisme de Mireille Sertout, la présidente de l'Association des résidents de La Clusaz, la plus importante des Aravis avec quelque 330 familles adhérentes. Non contente d'animer l'ADR, elle continue de recruter d'autres associations de résidents secondaires de stations de montagne au sein d'une fédération qui compte aujourd'hui 11 associations et dont elle est la présidente. Leurs membres ont tous en commun, comme le rappelle Mme Sertout, d'être des vacanciers fidèles «très attachés à leur village d'adoption dont ils s'avèrent les meilleurs ambassadeurs». Ces associations, si elles défendent les intérêts des résidents secondaires, ont aussi conscience que les stations de montagne comme celles du littoral ne doivent pas être des «réserves» qui leur seraient consacrés. Ils rejoignent en cela les préoccupations de l'Association des élus de montagne dont la volonté est de corriger le tir de la pression immobilière pour permettre aux jeunes notamment de rester au pays. Avec l'aide de la loi. Une mission interministérielle, qui planche sur ce dossier, doit rendre ses conclusions au printemps prochain. Mais les maires ont déjà un instrument. Ils peuvent imposer dans les nouveaux plans locaux d'urbanisme un pourcentage de logements locatifs lors de toute construction de résidence de tourisme. Il y aura d'autres mesures qui permettront, comme à Manigod qui a lancé sa révision du PLU, de réduire l'écart entre population permanente et population touristique que les Manigodins jugent, à juste titre, trop important.
On n'arrête pas le dynamisme de Mireille Sertout, la présidente de l'Association des résidents de La Clusaz, la plus importante des Aravis avec quelque 330 familles adhérentes. Non contente d'animer l'ADR, elle continue de recruter d'autres associations de résidents secondaires de stations de montagne au sein d'une fédération qui compte aujourd'hui 11 associations et dont elle est la présidente. Leurs membres ont tous en commun, comme le rappelle Mme Sertout, d'être des vacanciers fidèles «très attachés à leur village d'adoption dont ils s'avèrent les meilleurs ambassadeurs». Ces associations, si elles défendent les intérêts des résidents secondaires, ont aussi conscience que les stations de montagne comme celles du littoral ne doivent pas être des «réserves» qui leur seraient consacrés. Ils rejoignent en cela les préoccupations de l'Association des élus de montagne dont la volonté est de corriger le tir de la pression immobilière pour permettre aux jeunes notamment de rester au pays. Avec l'aide de la loi. Une mission interministérielle, qui planche sur ce dossier, doit rendre ses conclusions au printemps prochain. Mais les maires ont déjà un instrument. Ils peuvent imposer dans les nouveaux plans locaux d'urbanisme un pourcentage de logements locatifs lors de toute construction de résidence de tourisme. Il y aura d'autres mesures qui permettront, comme à Manigod qui a lancé sa révision du PLU, de réduire l'écart entre population permanente et population touristique que les Manigodins jugent, à juste titre, trop important.
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- Du lac d’Annecy au massif des Aravis : des complémentarités à exploiter
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- Garder les gens du pays... au pays
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Courrier des lecteurs
Nous avons reçu un courrier de Monsieur Michel Bansard résidant au Mans (72) et propriétaire d’une résidence secondaire à Saint-Jean-de-Sixt, qui fait suite à la lettre de Jean-Claude Rolland paru dans notre dernière édition.